C’est le jour après le samedi, le matin de Pâque. Nous nous imaginons nous aussi, Seigneur, avec les deux disciples là immobilisés, à l’intérieur de ton sépulcre. Muets. Effrayés. Ton corps n’est plus là. Il y a seulement le suaire, celui dans lequel tes pauvres restes martyrisés ont été enveloppés par celui qui a eu pitié de toi après tant de pâtir. …